1 nœud = 1,85 km/h\Échelle de Beaufort : force du vent de 1 à 12
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Une planche de 1,40 m
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Les footstraps
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Le cerf-volant de traction
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La barre de pilotage
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Le harnais
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Les kitesurfeurs peuvent faire des bonds\de 20 m au-dessus de lΓÇÖeau
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La mini-malibu
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Le shortboard
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Le leash
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La wax
@LM_Barre
La barre
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Pascal Vincensini, moniteur à l’école Anglet Cap Glisse\réalise un « tube »
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http://angletcapglisse.free.fr
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Planche flexible en mousse dΓÇÖenviron 1 m
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Les palmes courtes
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Le leash
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Le bodyboarder, Pierre-Louis Costes\réalise un « rollo » au sommet\d’une vague
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Les pieds du kayak surfeur sont maintenus par des sangles\pour plus de stabilité
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On peut pratiquer le wakeboard à partir de 15 ans
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Les windsurfeurs font parfois des sauts de plus de 9 m
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L’Optimist : idéal pour une initiation à la voile\à partir de 7 ans
@LM_vent
Vent faible = 0 à 6 nœuds = force 0 à 2\Vent modéré = 7 à 21 nœuds = force 3 à 5\Vent assez fort = 22 à 27 nœuds = force 6\Vent fort = 28 à 40 nœuds = force 7 et 8\Vent très fort = 41 à 47 nœuds = force 9\Vent violent = + de 47 nœuds = < force 10
@LM_CO_01
Le kitesurf : www.ffvl.fr
@LM_CO_02
Le surf et le bodyboard : www.fedesurf.com
@LM_CO_03
Le kayak surf : www.ffcanoe.asso.fr
@LM_CO_04
Le wakeboard : www.ffsn.asso.fr
@LM_CO_05
Le windsurf : www.aff.net
@LM_CO_06
LΓÇÖOptimist : www.ffvoile.org
@LM_CO_07
Tous les sports nautiques : www.industriesnautiques.fr
@AIDE
@INFO
@DICO
@D_Zoom00_01_03_G
Leash : dans les sports nautiques, lien muni d’une bande Velcro qui permet de relier le sportif à son matériel.
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@ZOOM00_00_01
Aloha ! Moi, c’est Rato de Bordeaux. En surf, j’suis un vrai pro. Vous pensiez passer des vacances à bronzer sur la plage ? Eh bien, c’est ra-té !
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Eh oui, à la plage, il y a plein d’activités surprenantes à découvrir. Pas question de roupiller ! Pour commencer, aide nos sportifs à retrouver leur matériel…
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… En les déposant dessus. Clique ensuite pour tout savoir sur ces sports de glisse. Sensations fortes assurées ! Allez, moi, j’vais chercher LA vague pour surfer.
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Blp ! Blp ! C’est plutôt elle qui m’a trouvé ! Heureusement, j’me suis fait une copine. Pssss ! Au fait, des intrus se sont glissés parmi nos sportifs, je compte sur toi pour faire la chasse aux paresseux.
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Eh non ! Notre sportif utilise une sorte de cerf-volant pour décoller au-dessus de l’écume.
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Non, non, celui-ci attaque les vagues avec une grande planche rigide.
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Raté ! Pour pratiquer ce sport, on s’allonge à plat ventre sur une petite planche flexible.
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Ah non, recommence ! Cette sportive utilise une pagaie pour avancer.
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Non ! Cette sportive n’avance pas grâce au vent, et sa planche ressemble à un snowboard. Accroche-toi, ça déménage !
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Celui-ci utilise une voile pour se déplacer et une longue planche pour slalomer entre les vagues.
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Raté ! Pour pratiquer ce sport de voile, on a besoin d’un bateau, et pas question d’avoir le mal de mer !
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Waouh ! Bien vu ! Les pieds accrochés à son petit surf et se faisant tracter par une sorte de cerf-volant, le kitesurfeur s’envole au-dessus des vagues et peut faire toutes sortes d’acrobaties. Pas question d’avoir le vertige !
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Bravo ! Né au 17e siècle, à Hawaï, le surf est l’un des sports nautiques les plus populaires au monde. Une planche, de belles vagues de 1 à 15 m de haut, et c’est parti !
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Eh oui ! Le bodyboard permet de surfer allongé et de faire des figures spectaculaires. Cette petite planche flexible est idéale pour les débutants.
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Parfait ! Comme son nom l’indique, le kayak surf est un compromis entre le surf et le kayak. Il existe différentes façons de surfer, même assis en se servant uniquement de ses bras.
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Bien joué ! Les pieds accrochés à une petite planche qui ressemble à un snowboard, le wakeboarder est tracté par un bateau à moteur. Grâce à sa vitesse de glisse, il enchaîne des figures acrobatiques impressionnantes en s’élevant dans les airs.
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Bien vu ! La planche de windsurf est un croisement entre les planches à voile traditionnelles et le surf. Grâce à la force du vent, le windsurfeur peut prendre vague sur vague, et effectuer des figures quelques mètres au-dessus de l’eau. Renversant !
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Félicitations ! Stable et simple à manœuvrer, l’Optimist est idéal pour les débutants qui veulent se familiariser avec la voile. Mais attention, moussaillon, il faut apprendre à diriger ton navire !
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Incollable sur les sports nautiques, tu seras ! N’oublie pas de cliquer dessus pour en savoir plus sur le matériel, la technique ou les deux.
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Raté ! Celui-ci n’est pas un sportif ! Mais la « serviette-board », c’est quand même tout un art : se tartiner de crème, bien ajuster ses lunettes de soleil… Épuisant !
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Parfaitement, môssieur ! Bronzer, c’est du sport ! Qui doit penser à se retourner toutes les dix minutes pour être bien dorée des deux côtés ? Qui ? Qui ?
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Oh la la ! Tourner les pages d’un livre, ça c’est du sport. Surtout si c’est le dernier « Harry Potter » ! Mais désolé, ce n’est pas un sport de glisse.
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Pas mal ! CΓÇÖest bien une sportive, mais elle ne pratique pas un sport nautique, et encore moins un sport de glisse. Pas de chance !
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L’océan, les embruns, le vent : idéal pour méditer et reposer son corps et son esprit, mais ce n’est quand même pas très sportif.
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Pour mesurer la force du vent, les passionnés de la mer utilisent l’échelle de Beaufort, qui va de 1 à 12. Si la météo prévoit un vent de force 1, pas la peine de sortir ta planche, il n’y aura pas de vagues. En revanche, si le vent dépasse la force 10 : tous aux abris !
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Envie de tester l’un de ces sports ? Clique pour en savoir plus et devenir, peut-être un jour, un champion de surf ou une championne de wakeboard… C’est parti !
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Pour pratiquer le kitesurf, il faut d’abord connaître son matériel. Les planches de kite, sorte de mini-surfs, mesurent en moyenne 1,40 m. Elles sont plus fines et plus légères que les planches de surf. Pratique pour décoller !
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Pour que les pieds du kitesurfeur restent sur la planche une fois dans les airs, il les attache aux « footstraps ». Ce sont des fixations intégrées à la planche de kite.
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Voici le cerf-volant de traction qui permet au kitesurfeur de se déplacer. Sa voile est faite de boudins gonflables qui flottent sur l’eau. En cas de chute, ils permettent au sportif de décoller immédiatement !
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Le cerf-volant est relié à une barre de pilotage et au kitesurfeur par quatre fils d’une trentaine de mètres de long. Le surfeur est relié à la barre par un harnais qu’il attache autour de son bassin. Grâce à la barre, le surfeur dirige son aile par rapport au vent. S’il la lâche, le harnais lui permet de ne pas perdre son matériel. Astucieux !
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Si le kitesurfeur avance, c’est grâce au vent qui s’engouffre dans le cerf-volant.
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Deux des lignes qui le relient à la voile sont fixes. Ce sont les lignes situées à l’avant. Les deux autres sont directement reliées à la barre. Ce sont les lignes arrière.
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Elles permettent au kitesurfeur, en tirant ou en poussant sur la barre, de moduler sa vitesse en modifiant l’orientation de la voile. En cas de problème, le sportif dispose d’un système de sécurité qui annule la traction de la voile tout en la retenant par un leash de sécurité. Il ne faut pas qu’elle s’envole !
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En prenant beaucoup de vitesse et en se servant de la force du vent, les kitesurfeurs peuvent décoller de la surface de l’eau et réaliser des figures spectaculaires. Loopings avant et arrière sont au programme !
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Avant d’affronter les vagues, il faut d’abord choisir sa planche. Il en existe au moins cinq sortes. Le choix dépend de ton âge et de ton niveau. La mini-malibu, une large planche arrondie de 2,20 m, flotte bien, et elle est très stable. Idéal pour débuter !
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Le shortboard, plus étroit et plus effilé, est réservé aux surfeurs confirmés qui attaquent des vagues puissantes et très creuses.
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Indispensable, le leash ! (prononcer « liche ») Avant de te jeter à l’eau, il ne faut pas oublier de l’attacher à ta cheville grâce à la bande Velcro. Fixé à la planche, il te permettra de la récupérer après chaque chute. Pratique !
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Voici la wax ! Le surfeur tartine sa planche avec cette sorte de cire. Comme ça, ses pieds adhèrent mieux au surf et il risque moins de glisser en montant dessus. Malin !
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Aérial, tube, roller… Avant de réaliser toutes ces figures, il faut d’abord ramer, à plat ventre sur ton surf, pour passer la barre, la zone où les vagues retombent. En cassant, elles forment l’écume blanche qui déferle sur la plage.
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Une fois derrière la barre, dos aux rouleaux, il faut attendre assis sur son surf qu’une belle vague arrive. Quand sa force commence à t’emporter, il faut se placer dans le creux de la vague et préparer ton « take-off ». En jargon de surfeur : ton départ.
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Puis il te faut sauter à pieds joints sur la planche en t’aidant de tes bras, d’un seul coup. Le déferlement de la vague te projette vers sa partie la plus haute, la « lèvre ». Certaines vagues mesurent 15 m de haut, l’équivalent d’un immeuble de cinq étages… Waouh !
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Une fois debout, le surfeur fait un quart de tour sur lui-même pour prendre la vague soit vers la droite, soit vers la gauche, en suivant son sens de déferlement vers la plage. Il peut dévaler ces montagnes d’eau à 60 km/h !
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Euh… Ben moi, quand l’eau est trop froide, j’me baigne pas ! Comme ça, j’peux observer mes copains surfeurs et leur donner quelques conseils techniques…
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La planche de bodyboard est plus courte, plus souple et plus maniable qu’une planche de surf. C’est idéal pour les débutants qui n’osent pas encore monter sur un surf : le bodyboard se pratique à plat ventre.
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Ces palmes courtes permettent au bodyboarder de se déplacer plus rapidement dans l’eau. Pratique !
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Comme pour le surf, le bodyboarder est relié à sa planche par un leash qu’il attache à son poignet. Ce lien lui permet de ne pas perdre sa planche dans les rouleaux.
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Attention, même s’il est adapté aux débutants, le bodyboard est une discipline sportive à part entière. Il permet de réaliser des figures incroyables sur de très grosses vagues. Comme pour le surf, il faut attendre une belle vague…
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… Faire un quart de tour vers la gauche ou vers la droite pour glisser le long de la vague.
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Le bodyboarder réalise toutes sortes de figures acrobatiques au sommet des vagues. Une des plus spectaculaires, le « rollo », consiste à faire une vrille au sommet d’un rouleau. Sensations garanties !
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Cette planche moulée aux formes humaines, que l’on dirige en ramant avec une longue pagaie de plus de 2 m, permet de surfer assis. En kayak surf, on peut franchir de grosses vagues. À l’origine, il était utilisé par les sauveteurs australiens pour chercher les victimes en mer.
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Cramponné à une barre de pilotage, un petit surf accroché aux pieds par des sangles, le wakeboader décolle de la surface de l’eau. Il enchaîne les sauts dans toutes les positions à plus de 35 km/h. Eh oui, il est tracté par un bateau à moteur. Attention à la chute !
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Le windsurfeur, « le surfeur du vent » en anglais, dirige sa planche en maniant le « wishbone » de sa voile. Avec cette sorte de gouvernail, il s’oriente en se servant de la force du vent. Au sommet des vagues, il décolle pour réaliser des figures impressionnantes dans les airs.
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L’Optimist est un petit bateau léger, à fond plat, qui ne possède qu’une seule voile. Le navigateur se dirige grâce à cette dernière, ainsi qu’avec le safran. C’est une sorte de dérive, reliée à la barre de l’embarcation. S’il pousse la barre vers la droite, le bateau se dirige vers la gauche et inversement. Mais on s’habitue vite.
